mercredi 26 juin 2013

26 juin 2013 roxane.maurer@neuf.fr À Lydia Belostyk

Photos |26/06/2013










Nous nous vivons toujours en deçà de nous-mêmes.
Nous bâtissons nos espoirs sur des silences.
Bernard Giusti





 


samedi 22 juin 2013

22 juin 2013 Lydia Belostyk à Roxane Maurer










Sous la robe, une peau diaphane

Sous la peau flétrie, le temps
Lydia Belostyk

vendredi 21 juin 2013

jeudi 20 juin 2013

20 juin 2013 Lydia Belostyk à Roxane Maurer


"Je photographie le miroir, elle me regarde
Je capture le miroir, elle capture mon regard .
Midi et quart ...
Lydia Belostyk

mercredi 19 juin 2013

19 juin 2013 roxane.maurer@neuf.fr À Lydia Belostyk

Photos |19/06/2013
 
Mais que deviendront les caresses
que l'on m'a prodiguées?
Que deviendront les caresses
que je me suis plu à multiplier ?
Bernard Giusti

samedi 15 juin 2013

15 juin 2013 Lydia Belostyk à Roxane Maurer

"Souviens-toi que le temps est un joueur avide 
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi.  
Baudelaire in l'horloge

jeudi 13 juin 2013

13 juin 2013 Lydia Belostyk à Roxane Maurer


Remember ! Souviens-toi, prodigue ! Esto memor !
(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues 
Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or ! 
Baudelaire, in l'horgloge

mercredi 12 juin 2013

12 juin 2013 roxane.maurer@neuf.fr À Lydia Belostyk

Photos |12/06/2013
 








Nous sommes
nous en chemin toujours.
Chaînes brisées, genoux libérés.
Tout ça, ça fout le bourdon.
Alors prions


samedi 8 juin 2013

8 juin 2013 Lydia Belostyk à Roxane Maurer

"Sous les ifs noirs qui les abritent
Les hiboux se tiennent rangés
Ainsi que des dieux étrangers
Dardant leur oeil rouge.
Ils méditent"...
Baudelaire

vendredi 7 juin 2013

7 juin 2013 roxane.maurer@neuf.fr À Lydia Belostyk

Photos |07/06/2013


Métaphore de l'eau, une illusion de l'eau, qui comme le mythe de Narcisse nous incite au passage de l'au-delà, à plonger dans le néant.

jeudi 6 juin 2013

6 juin 2013 Lydia Belostyk à Roxane Maurer


"Cétait impossible pour moi ; je n'arrivais pas à, disons, décider : Voilà, c'est terminé... C'est à partir de là, au fond, que le mouvement  s'est imposé à moi. Le mouvement me permettait tout simplement d'échapper, à la pétrification, à cette fin. "
Jean Tinguely